Amazon Kindle 3 mon experience

Villemagne, 31 aout 2010
Ce matin, j’ai précommandé le Kindle Wi-Fi, d’Amazon : de 139 dollars, la note arrive à 156 euros avec la livraison et les taxes de douane, ce qui augmente de 50 euros ce que j’avais prévu. Mais c’est un investissement professionnel. Il m’est nécessaire de lire mes textes en cours de correction sur un outil de lecture numérique. Quand je pense que lors de la publication d’Aquamarine 67 sur la plate-forme digitale d’Amazon le 10 janvier dernier, je n’étais même pas capable de lire mon texte directement car il n’existait pas encore d’application Kindle for Mac… j’avais dû attendre d’un lecteur le rapport sur la présentation de mon livre. Amazon a bien avancé depuis.

Toulouse 10 septembre 2010
Le Kindle d’Amazon va être livré la semaine prochaine, il est actuellement en préparation ! Formidable. J’ai vraiment hâte d’avoir cet objet en poche lorsque je fais des petits trajets ou des haltes, car je ne veux plus porter des choses lourdes mais j’ai encore besoin de lire.

Toulouse 14 septembre 2010
Mon Kindle d’Amazon a quitté le Kentucky hier dans l’après-midi et voyage en ce moment par UPS. Il est supposé arriver demain. Mais je serai à Villemagne et devrai attendre de revenir à Toulouse. Je ne pouvais pas savoir la date de livraison, lors de la précommande du 31 août il était question du 17 septembre. Impeccable. Voilà qui va donner un autre angle de vue à ma vie. Dans la cohérence de mes écrits.

Toulouse 16 septembre 2010
Chez Coralie, rue Arnaud Bernard, j’ai fait livrer le Kindle à son atelier où il y a toujours quelqu’un.
J’ai pris en main le Kindle, rien à voir avec un produit Mac et quand on est habitué à l’ergonomie si évidente des magnifiques produits Apple, on ne peut qu’être déçu. Mais le Kindle est à la portée de ma bourse actuelle, alors que l’iPad ne l’est pas encore. Mais il est sûr que j’aurai un iPad pour voyager, sans une seconde d’hésitation, et il me servira pour lire dans mon lit quand je serai à la maison.
En attendant, un bon point pour le Kindle, c’est bien pratique pour lire en mangeant, il n’y a pas besoin de tenir les pages… Je sais, ce n’est pas bien de lire en mangeant et jusqu’ici je ne le faisais jamais, appliquant la maxime de Montaigne : quand je mange, je mange, quand je lis, je lis. Je sens que là ça va être possible de lire en mangeant, à condition de ne pas avoir les doigts trop gras en cliquant sur la page pour en changer…

De Amazon Kindle 3
De Amazon Kindle 3

Comme je veux utiliser cet outil en voyageant léger, je rentre en avion par Ryanair avec un seul bagage cabine de moins de 10 kilos, je n’ai pas commandé l’adaptateur de recharge de la batterie. Le cable USB livré a permis une charge très rapide de la batterie.

De Amazon Kindle 3

La Connection Wi-Fi s’est faite sans problème.

De Amazon Kindle 3

Toulouse 17 septembre
Premières impressions : c’est un outil vraiment moche quand on est habitué à naviguer sur Mac depuis 18 ans. Il est peu ergonomique : on a envie de toucher l’écran mais rien ne se passe, donc il faut taper sur un clavier qui date d’avant la guerre de 14.
Puis on s’y fait.
Léger : 240 g.
Peu encombrant, la taille d’un livre de poche en plus fin.
Ca se connecte en Wi-Fi et hop j’ai téléchargé Aquamarine 67 à toute vitesse.
Hier au restaurant avec Mélanie on cherchait le sens d’un mot, j’avais le Kindle, on l’a trouvé tout de suite sur le dictionnaire anglais livré sur l’appareil.
Ce matin, je viens de m’offrir le luxe (gratuit) de télécharger tout Proust, tout Platon, tout Tolstoï et en bonus, Les Poésies du troubadour Peire Raimond de Toulouse que j’irai lire sur un banc de l’Hôtel d’Assezat, très bientôt… Oui, chacun son luxe !
Donc ce sera un bon outil que j’aurai toujours en poche dans mon manteau dès que je sortirai de chez moi…

Toulouse 18 septembre
J’ai trouvé une pochette Nike à Decathlon pour porter tous mes appareils numériques, GPS, appareil photo Canon, Kindle et j’ai été tout de suite plus à l’aise pour circuler. Chaque appareil a beau ne pas peser lourd, j’avais près de 800g dans mon manteau et je le trouvais lourd.

De Amazon Kindle 3

Toulouse 20 septembre
Déplacement à la campagne. Dans le métro, à l’aller comme au retour, j’ai lu dans le Kindle. En attendant une amie, j’ai lu aussi et je l’ai testé au grand soleil de septembre. Impeccable. Pas fatigant du tout. J’ai fini une nouvelle tirée des Soirées de Médan d’Emile Zola, en PDF, le soir j’ai commencé les Poésies du troubadour Peire Raimon de Toulouse, en occitan traduit et publié dans les années 1912-1920. Très beau texte.
Je sens que déjà j’aurai du mal à me passer de cet outil de lecture si pratique.

Villemagne 22 septembre 2010
Je peux désormais voyager léger et lire dans le train sans problème.
Je suis très excitée par cette nouvelle expérience.
Je me trouve dans la situation d’il y a deux ans quand je décidais de passer mes cahiers en écriture numérique exclusive sur le MacBook en abandonnant les cahiers papier, trop lourds, bien que très beaux, lisses et odorants, pour ne plus taper que sur le clavier du MacBook pour collecter mes notes et idées.
Maintenant tous mes livres seront lus sur le support électronique du Kindle Amazon. Je viens de finir un de mes derniers livres papiers trouvés chez Ana : de Ken Follet, Les Piliers de la Terre, j’y ai pris beaucoup de plaisir par la joie de me retrouver dans l’Angleterre de l’époque de la guerre de succession entre Etienne de Blois et l’impératrice Mathilde, les deux étant les ancêtres d’Edwina de C., ainsi que leur successeur Henry II, époux d’Aliénor d’Aquitaine.
J’y vois le même symbole de changement de civilisation. A cette époque les livres ne se présentaient pas du tout comme nous les connaissons et le savoir était réservé aux clercs. L’imprimerie a démocratisé la circulation des idées comme le support de lecture numérique peut bouleverser la donne aujourd’hui.

De Amazon Kindle 3

Villemagne 24 septembre
Il y a déjà le bonheur de lire tout simplement avec aisance, facilité, concentration. Comme je ne le ressentais plus depuis un certain temps.

De Amazon Kindle 3

L’an dernier au retour du voyage en Hollande, j’avais eu besoin de vivre dans « la haute note jaune » décrite par Vincent van Gogh. J’avais ressorti ma collection des livres de Proust qui me suivent depuis mes 18 ans. J’avais tout relu, dans l’ordre chronologique d’écriture, pas celle de l’édition, celle de l’expression de l’auteur. De Jean Santeuil en passant par les Plaisirs et les Jours et Contre Sainte Beuve avant d’aborder la troisième lecture de La Recherche du Temps Perdu. J’avais enfin à me mettre sous la dent, ou plutôt sous les yeux, un matériau à la hauteur de mes attentes d’une vibration tonale puissante et conséquente. Impossible de lire ce que je trouvais à ma portée, arrivant de la bibliothèque ou prêté par des amis, dans les récentes parutions à part quelques ouvrages anglo-saxons que je lisais dans le texte original mais dont les traductions me retombaient des mains.
C’est ainsi d’ailleurs que je suis tombée sur le Journal 1988 de Renaud Camus qui a aussi comblé mon attente d’un texte digne de ce nom. Après Proust, c’est tout ce que je pouvais lire, les autres exemplaires de publications récentes n’ayant laissé aucune trace dans ma mémoire et coûtant beaucoup trop cher pour leur contenu.

J’éprouve la même intensité de vie, de découverte, d’espérance, que lors de ma période d’exigence de changement de vie de l’été 2009, quand j’ai décidé de reprendre la saisie des cahiers pour les publier, lorsque j’en ai fait la priorité absolue de la fin de ma vie, suivant les injonctions reçues de Vincent et Théo van Gogh sur la tombe d’Auvers pour la valorisation de l’oeuvre de Samson et mes devoirs de collectionneuse et celles reçues de Marcel Proust dans la salle du Musée d’Orsay pour la publication de mon oeuvre personnelle, gardée au secret depuis cinquante ans.

J’éprouve la même intensité de lecture avec le Kindle tel que je l’ai ménagé selon le terme de Montaigne qui me plait mieux que la traduction littérale de management employé en général pour faire style comme dirait Ana.

Je l’ai depuis une semaine et déjà j’y ai ai lu plusieurs ouvrages que je n’eusse pas lus si je m’étais contentée de lire ce que je trouvais en papier. Certes j’ai fini avec bonheur Les Piliers de la Terre de Ken Follet trouvé chez Ana en rangeant ses documents en vue du déménagement de la semaine prochaine. Ce sera sans doute un de mes derniers livres en papier. Je sais déjà que je n’en achèterai plus, comme je ne conçois plus un seul instant d’acheter le moindre CD de musique alors que je peux tout télécharger directement sur mon MacBook et sur mon Kindle. Je n’ai jamais acheté de CD-Rom ni de DVD car j’étais déjà sur internet lorsque ces outils sont sortis et ces déluges de papier et plastique manufacturés d’une forme destinée à imiter les livres m’ont toujours parus factices et trop peu rapides eu égard à la rapidité de réaction de l’internet tel que je le pratiquais déjà. De plus ils étaient beaucoup trop chers pour mon budget alors que je pouvais trouver des logiciels en ligne bien plus abordables, la plupart du temps sur des sites américains.

Qu’ai-je mis sur mon Kindle ?

J’y ai téléchargé tout de suite des auteurs à la hauteur de celle de mon cher ami Marcel Proust. Des auteurs qui, comme lui, ont balisé mon chemin d’apprentissage du monde et de réflexion personnelle, comme Tolstoi et Shakespeare, que l’on retrouve dans mes carnets dès le début, Tolstoi dont j’ai lu Guerre et Paix l’été de mes 15 ans et Shakespeare que j’ai eu le privilège de voir monté par Peter Brook au Théatre des Nations dès mes 16 ans et joué par la Royal Shakespeare Company et dont je garde au coeur des références inégalables.
J’ai téléchargé sur mon Kindle environ 120 ouvrages du domaine public en plus de mon édition numérique d’Aquamarine 67 d’Amazon de janvier 2010. Et mon ego est satisfait de voir mon livrel entre ceux de Emmanuel Kant et de Ruddhyar Kipling quand j’opère un tri par auteur et entre Anna Karenine de Tolstoi et As You Like It de Shakespeare.
J’y ai aussi téléchargé en le convertissant dans Calibre mon premier volume des cahiers 01 Le Vent d’Alezan et je suis heureuse de le trouver en tête juste au-dessus de A La Recherche du Temps Perdu… On a les satisfactions qu’on peut. Moi cela me met en joie et me tonifie l’esprit pour continuer le travail de corrections en cours.

J’ai fait la synchronisation avec Calibre :

De Amazon Kindle 3

Qu’ai-je lu déjà sur mon Kindle ?

En une semaine, j’ai donc fini les 1000 pages papier du livre de Ken Follet, qui me passionnait puisqu’il décrit le monde des ancêtres d’Edwina et Audrey, vu du point de vue d’un moine et de maçons ou tailleurs de pierre bâtisseurs de cathédrale. Mais j’ai lu aussi plusieurs ouvrages numériques. Chaque fois que je dois attendre quelque part, je le sors de mon sac, acquis pour lui, la mise en oeuvre est simple, je le garde en veille, il affiche alors un portrait en gris d’écrivains et se réveille d’une simple poussée pour afficher la dernière page de lecture en cours. Impossible donc de perdre sa page et l’avancée de la lecture me laisse voir ce qui reste encore à lire, en pourcentage et en pointillés.
J’ai lu la lettre de bienvenue de Jeff Bezos dont la teneur me plait beaucoup, j’en ai gardé la fin en citation pour l’utiliser dans un article. Car on peut copier des citations et écrire des commentaires qui restent conservés sur mon compte Amazon mais que je peux récupérer aussi quand je connecte le Kindle au MacBook.
J’ai lu d’abord en anglais le mode d’emploi puis en français.
J’ai beaucoup butiné dans les ouvrages téléchargés pour en reflairer la teneur et j’ai commencé la vérification de mon texte Le Vent d’Avezan en vue de le corriger sur l’original, ce qui était le but premier de mon acquisition de cet outil : voir comment mon lectorat pouvait lire mes textes destinés à la publication numérique.

Mais j’ai aussi fini quelques titres.
J’ai donc lu Les soirées de Médan de Zola et ses amis, Maupassant, Huismans, Céart, Hennique et Alexis. J’ignorais tout de ce livre, j’ai découvert le monde de la guerre de 70, à l’époque de la naissance de Proust. Je me sens plus riche depuis. J’ai lu àmon petit-fils Noé en anglais la nouvelle de Michelle de Villiers, éditée sur Smashwords, sur les trois animaux qui ont voyagé dans la première Montgolfière et atterri dans le parc du château de Versailles à la cour du roi Louis XVI, à l’époque où l’ancêtre d’Edwina était encore Comte d’Artois.
J’ai lu intégralement hier soir le troisième volume du Guerrier de Lumière de Paulo Coelho, je ne suis pas fan de ce genre de lectures pourtant populaires, car j’ai toujours l’impression qu’on enfonce des portes ouvertes, mais j’apprécie l’attitude de l’auteur qui met ses textes en libre disposition sur internet. Et Guerrier de Lumière m’évoque un certain tableau d’Yves Samson, Guerrier sur le Chemin.
J’ai lu aussi Adolphe de Benjamin Constant, classique restée dans les oubliettes des bibliothèques qu’il m’est arrivé de fréquenter, chez mes parents, chez moi ou ailleurs. Voici une lacune de comblée.

J’ai commencé la lecture des Poésies du Troubadour Peir Raimon de Toulouse, d’une grande beauté. Où aurais-je trouvé ce texte du 13e siècle traduit et publié en 1912 et 1920 ?

J’ai commencé celle de La Reine Margot d’Alexandre Dumas père que je n’avais jamais lu et qui prend pour moi un relief particulier puisque je connais maintenant l’histoire des ancêtres d’Edwina. Henri IV est un de mes préférés et mes ancêtres protestants ont sans doute été concernés par la Nuit de la Saint-Bartélémy.

Une semaine après ma prise en main du Kindle, reçu en quarante huit heures des Etats-Unis, après quinze jours de précommande, je peux affirmer que jamais plus je ne pourrais vivre sans cet outil de lecture qui apporte à mon cerveau exigeant de la matière noble.

Ce soir, je suis prête à reprendre ma lecture sur le Kindle, je veux finir Adolphe de Benjamin Constant que je ne me rappelle pas avoir jamais lu de ma vie. Je crois que je vais dévorer comme lorsque j’étais petite fille, aujourd’hui j’ai lu sur le divan, puis dans le train, puis dans le métro. J’ai eu un joli sourire de la jeune femme en face de moi quand elle m’a vu remettre simplement le Kindle dans la poche de mon manteau à la descente de la station Saint-Cyprien-République.

Toulouse 26 septembre 2010
J’étais trop contente, trop fière de télécharger des dizaines de livres du domaine public, les derniers étant les textes de John Ruskin sur ses voyages en Italie, dont Venice’s Stones ou Mornings in Florence.
Et puis, soudain, le Kindle n’a plus été connecté. Or ce n’est pas parce que j’ai téléchargé une centaine de livres que ce dernier est rempli puisqu’il doit permettre plus de 3000 livres.
J’ai voulu regarder ma liste de livres, dans Home, en cliquant d’abord sur un PDF que j’avais déjà lu et là j’ai eu un message disant que la fonction de lecture des PDF n’était pas encore implémentée alors que jusqu’ici j’ai pu lire plusieurs livres sous ce format.
J’ai essayé de revenir à d’autres livres, j’ai eu un écran blanc avec en haut le Dictionnaire Oxford. J’ai voulu ouvrir d’autre livres déjà lus ou que je venais de télécharger, toujours un écran vide avec en haut dans la barre le premier titre de la bibliothèque : Adolphe de Benjamin Constant.
J’ai essayé de revenir au Menu à Settings pour redémarer comme cela m’était conseillé sur le premier écran, mais je n’ai pas trouvé cette fonction Restart. J’ai changé de page et j’ai cliqué sur La fonction Réseaux sociaux Manage et là ça a gelé. J’ai éteint manuellement et redémarré le Kindle mais il est revenu à un écran vide avec le titre Settings sans mouvement.
J’ai éteint et rallumé et depuis je n’ai qu’un écran blanc comme lorsque le Kindle est éteint.
J’ai connecté le Kindle au MacBook, sans que le Kindle monte sur le bureau et qu’aucun écran ne s’affiche comme cela se faisait habituellement quand il charge sa batterie.

La batterie était à moins de sa moitié.
J’avais téléchargé plus de 200 livres.
J’avais aussi quelques fichiers de musique MP3.

Je viens d’envoyer mon rapport à Amazon sur le Kindle Support.

Toulouse 24 septembre suite tout remarche !
J’ai rechargé la batterie. J’ai plusieurs fois activé le bouton en bas et finalement tout s’est remis en place. C’est donc une question de batterie, qui semble tenir moins longtemps que ce qui est prévu car sur la semaine j’ai passé deux jours à Villemagne sans Wi-Fi.
Donc je suis heureuse d’avoir transmis cette expérience délicate pour rassurer les personnes qui auraient le même problème.

De Amazon Kindle 3

Tout est bien qui finit bien ! Je peux continuer ma route avec le Kindle dans ma poche…
On the road again…

27 septembre
La réponse d’Amazon ne s’est pas fait attendre : la mise à jour du système est recommandée pour éviter les problèmes que j’ai rencontrés hier matin.

http://www.amazon.com/kindlesoftwareupdates/

Néanmoins, il me semble que la batterie ne tient pas aussi longtemps que ce qui en est dit sur les modes d’emploi. Je ne me connecte donc en Wi-Fi que lorsque je veux télécharger de nouveaux livrels. Et Amazon me propose d’autres titres du Domaine Public proches des auteurs que j’ai déjà téléchargés, retrouvant le bonheur de lire ou relire mais en anglais cette fois des livres qui ont enchantés mon enfance de 8 à 12 ans comme Fenimore Cooper, Jack London ou Mark Twain et tous mes classiques francophones. L’horizon est infini.

© gaelle kermen 2010

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2 réflexions sur “Amazon Kindle 3 mon experience

  1. En fait la batterie tient très longtemps, même avec le Wifi. Aucun problème, le Kindle est un excellent outil de lecture, destiné aux grands lecteurs, passionnés d’entendre l’auteur murmurer directement à leur oreille.

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