Cuisine étudiante plus simple : la première machine à soupe

L’idée m’est venue d’aider mon petit-fils Noé qui vient d’arriver à Paris pour une première année d’études à l’école Boulle à gérer au mieux sa cuisine personnelle pour conserver une bonne santé au fil de l’année universitaire.
Quelques conseils liés à mon expérience lui permettront de bien s’organiser. Ces conseils sont ceux que j’applique lors de mes périodes intenses d’écriture et lors de mes chantiers physiques de travail au jardin ou sur la maison.
Je crois beaucoup en la cuisine faite soi-même pour garder un bon équilibre de vie, tant physique que cérébral. On peut réfléchir en épluchant et détaillant des légumes.


L’idée est d’avoir des repas à réchauffer pour soi-même au quotidien, surtout en temps de travail intensif, mais aussi de pouvoir recevoir des amis avec une belle convivialité. Un repas partagé permet de conserver l’humanité nécessaire à la bonne conduite du cerveau.
Ceci est valable à tous les âges de la vie.


Que nos étudiants prennent de bonnes habitudes dès leurs premiers jours d’autonomie leur permettra une bonne santé et une belle joie de vivre.

La première machine qui me parait indispensable est la machine à soupe. J’ai offert à Noé celle-ci https://www.amazon.fr/dp/B00SFY04JA?psc=1&ref=ppx_yo2ov_dt_b_product_details

Faire une soupe de base : se faire confiance

Pour utiliser la machine à soupe, il n’est pas utile de suivre une recette. On peut prendre tout de suite l’habitude de se fier à son instinct.
La base est de pouvoir commencer par un oignon émincé, des légumes verts ou des légumes rouges, selon les saisons, coupés en petits morceaux, un liant comme deux pommes de terre aussi en morceaux, ou des flocons d’avoine ou du riz ou des pâtes, on assaisonne selon ses goûts, sel, poivre, ail, etc.
On couvre d’eau au minimum ou au maximum de la machine.
On y met ce qu’on a sous la main et on invente.

Ici, j’ai mis des feuilles de jeunes poireaux, des fanes de betteraves sorties du congélateur, de l’ail, de l’oignon…


On sélectionne le mode Légumes entiers si on veut ensuite les faire sauter au wok par exemple, ou le mode Soupe Moulinée si on veut tout de suite un velouté.
On agrémente avec de la crème ou du beurre, du persil, des croûtons. Selon les envies et l’imagination de la saison.
L’hiver, on sera content d’avoir un plat chaud qui couvre les besoins essentiels.
L’été, la soupe peut aussi se servir froide comme un gaspacho. C’est toujours très apprécié, même le midi.

Velouté de légumes verts

En avant l’aventure de la première machine à soupe.

Gaelle Kermen;
Kerantorec, le 29 août 2023